Camille Laurens, écrivaine des pays perdus
- jmdevesa
- 13 janv.
- 1 min de lecture
Le 2 janvier dernier, Camille Laurens a publié son nouveau roman, Ta promesse, chez Gallimard. Elle avait eu la gentillesse de me faire parvenir en décembre les épreuves de ce livre, ce qui nous a permis de mettre en place un entretien que j'ai conçu comme j'en ai l'habitude, désormais, c'est-à-dire sur le mode de l'entretien, et non à la façon des journalistes (parfois pressés...).
Camille Laurens m'a fait confiance.
Et je crois que le résultat est intéressant et riche. La générosité de mon interlocutrice m'a permis de recueillir un "texte" qui éclaire beaucoup sa conception et sa pratique du roman, revient sur son parcours et sa production, explicite son rapport à la psychanalyse. Bref, c'est un entretien non pas de "promotion" d'un ouvrage, mais de réflexion et d'analyse d'une écriture. Je m'en réjouis.
Il a été publié sur la revue en ligne Collatéral. Cette courte présentation me permet de remercier Simona Crippa et Johan Faerber de me donner ainsi l'occasion d'appréhender une partie de la littérature contemporaine, du moins celle qui me "parle" et nourrit (à bien des égards et sous des modalités spcifiques) mes petits livres.
Voici le lien qui conduit à cet entretien :
Et comme ce matin j'attire votre attention sur le volet "critique" de mon écriture, il me plaît d'"illustrer" ce "post" de deux images que je veux ironiques à mon endroit... On n'est pas sérieux quand on a 68 ans...
Sur les bords de la Sarine, la critique rongeuse du castor (ou une histoire de dents - rires ) :
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